cheikh Ahmadou Bamba et son apport sur l'humanité
Au nom d’ALLAH le tout puissant
Je chante cheikh Ahmadou Bamba le très clément
L’homme à la dimension multiple
Qui a travaillé au-delà de ses disciples
C’est toi qui as sauvé l’humanité tout entière
Avec courage et détermination, quel exemplaire
Tu nous as aboli de l’esclavage et de la colonisation
C’est grâce à toi qu’on se réclame de nation
L’islam s’est rependu sur toute la terre
Tes talibés te commémorent jusqu’en Angleterre
Le retour du cheikh de sa déportation
A servi de l’humanité tout une satisfaction
Cheikh Ahmadou Bamba c’est toi qui as vaincu l’ignorance
Tes écrits circulent partout avec aisance
Tes daharas ont délivré les peuples de la méconnaissance
Aujourd’hui tes qassidas sont chantés avec jouissance
C’est grace à toi que l’homme noir s’est libéré
Nous gardons la tête haute avec fierté
Partout dans le monde on célèbre ta mémoire
Tu as travaillé pour DIEU jusqu'à obtenir sa gloire
C’est toi qui a le mérite de serviteur du prophète
L’islam était dans l’agonie c’est grace a toi qu’on le fête
La reconnaissance sur ton apport à l’humanité
Est un devoir de toute personne qui a la maturité
Tu nous as incité au travail et à l’adoration de DIEU
Qui est l’unique voie pour accéder aux cieux
Le véritable sauveur de l’humanité c’est toi
Personne depuis Adam n’a eu autant de foi
MERCI SERIGNE TOUBA MERCI SERIGNE touba!
DAME SYLLA
mardi 19 mai 2009
LA RESTAURATION A L’UNIVERSIT2 CHEIKH ANTA DIOP
LES ETUDIANTS SE COMPORTENT à LEUR GUISE
Nous sommes en pleine année scolaire. A l’université cheikh anta diop de Dakar l’heure de repas est sacrée pour les étudiants. Pour les petit déjeuners les restaurants ouvrent leur portes de 6heures à 9heures du matin pour le repas de 11heures à 14heures et pour le dîner de 18heures à 21heures. Cette délimitation horaire est faite selon le gérant du restaurant centrale pour permettre aux étudiants de prendre le repas aux moment qui les arrangent et qui ne coïncident pas avec les heures de cours. Cependant ce qui attire votre attention à l’université cheikh anta diop au moment des repas c’est la queue des étudiants devant les restaurants universitaires. Certaines heures de la journée attire une masse importanted’étudiants devant les restaurants Comme à 13heures pour le repas et 20heures pour le dîner. Parfois il y a des altercation entre les étudiants. Certains veulent directement entrer dans le restaurant sans suivre le rang. Cet acte est accepter par certains étudiants qui peuvent les laisser entrer par conte d’autres ne l’acceptent pas. Selon Modou un étudiant de la faculté ‘ des lettres et sciences humaines. Cette attitude est indigne pour un quelqu’un qui se dit intellectuel : « moi je n’accepte jamais une personne venir se planter devant moi , je respecte toujours le rang quelques soit la longueur et j’inflige aux autres de faire le même » Martèle t-il. En effet dans l’université il n’y a pas que de restaurants « public » il y a aussi des restaurants« privé » mais les prix sont jugés un peu chère par les étudiants qui les achètent à 500fcfa le plat. Raison pour la quelle il n’a pas de bousculade dans ces restaurants. D’ailleurs on rencontre le plus souvent des étrangers surtout des les marocains et les algériens. Il y a aussi des sénégalais qui choisissent ces restaurants parce que disent ils c’est plus délicieux et le milieux est plus propre et plus paisible. Il faut aussi noter qu’à l’université cheikh anta diop les repas sont subventionnés. On achète le ticket repas à 150fcfa et le ticket petit déjeuner à 75fcfa. Par ailleurs beaucoup d’étudiants se plaignent de la qualité des repas servis dans ces restaurants. « Ici les plats qu’on nous sert ressemble du n’importe quoi » a laissé entendre khadidjatou une étudiante en anglais.
LES ETUDIANTS SE COMPORTENT à LEUR GUISE
Nous sommes en pleine année scolaire. A l’université cheikh anta diop de Dakar l’heure de repas est sacrée pour les étudiants. Pour les petit déjeuners les restaurants ouvrent leur portes de 6heures à 9heures du matin pour le repas de 11heures à 14heures et pour le dîner de 18heures à 21heures. Cette délimitation horaire est faite selon le gérant du restaurant centrale pour permettre aux étudiants de prendre le repas aux moment qui les arrangent et qui ne coïncident pas avec les heures de cours. Cependant ce qui attire votre attention à l’université cheikh anta diop au moment des repas c’est la queue des étudiants devant les restaurants universitaires. Certaines heures de la journée attire une masse importanted’étudiants devant les restaurants Comme à 13heures pour le repas et 20heures pour le dîner. Parfois il y a des altercation entre les étudiants. Certains veulent directement entrer dans le restaurant sans suivre le rang. Cet acte est accepter par certains étudiants qui peuvent les laisser entrer par conte d’autres ne l’acceptent pas. Selon Modou un étudiant de la faculté ‘ des lettres et sciences humaines. Cette attitude est indigne pour un quelqu’un qui se dit intellectuel : « moi je n’accepte jamais une personne venir se planter devant moi , je respecte toujours le rang quelques soit la longueur et j’inflige aux autres de faire le même » Martèle t-il. En effet dans l’université il n’y a pas que de restaurants « public » il y a aussi des restaurants« privé » mais les prix sont jugés un peu chère par les étudiants qui les achètent à 500fcfa le plat. Raison pour la quelle il n’a pas de bousculade dans ces restaurants. D’ailleurs on rencontre le plus souvent des étrangers surtout des les marocains et les algériens. Il y a aussi des sénégalais qui choisissent ces restaurants parce que disent ils c’est plus délicieux et le milieux est plus propre et plus paisible. Il faut aussi noter qu’à l’université cheikh anta diop les repas sont subventionnés. On achète le ticket repas à 150fcfa et le ticket petit déjeuner à 75fcfa. Par ailleurs beaucoup d’étudiants se plaignent de la qualité des repas servis dans ces restaurants. « Ici les plats qu’on nous sert ressemble du n’importe quoi » a laissé entendre khadidjatou une étudiante en anglais.
mardi 12 mai 2009
Momar NDAO ASCOSEN« NOUS DISONS NON À LA VENTE DES ACTIONS DE L’ETAT À FRANCE TELECOMS »
Le président de l’ASCOSEN (Association des Consommateurs du Sénégal), Momar NDAO, connu sur la lutte de la défense des consommateurs, nous livre son point de vue sur les différents problèmes que traverse le pays.
« Que pensez-vous de la situation économique du pays ? Notre pays traverse une crise économique et financière grave, liée à des facteurs internes et externes que nous connaissons tous. Il y a une crise mondiale qui met à genoux beaucoup de pays, surtout les pays industrialisés. Cette crise ne peut pas laisser notre pays à l’écart ; puisque nous sommes un pays pauvre. Mais certains facteurs qui participent à la crise sont internes comme la non consommation des produits locaux, le manque d’investissements dans le monde agricole et rural. La taille du gouvernement participe aussi à la crise économique du pays. Notre pays n’a pas les moyens financiers de prendre en charge des institutions inutiles comme le Sénat, mais aussi le nombre pléthorique des ministres. Quel est le rôle de votre association devant une telle situation ? Ascosen est une association des consommateurs et pour les consommateurs. Elle veille aux prix des produits qui sont dans le marché pour que le vendeur comme l’acheteur s’en sortent avec satisfaction. Pour cela, nous veillons à chaque instant sur les prix du marché, mais aussi sur la situation économique tout entière. Notre rôle dans cette situation est d’alerter les autorités sur les prix du marché, mais aussi les pousser à baisser les prix des produits surtout ceux de première nécessité pour améliorer les conditions de vie des populations. L’Etat annonce la vente de ses actions à France Télécoms. Quelle est la position de votre association à cette décision ? Nous disons non à la vente des actions de l’Etat à France Télécoms. La Sonatel est une société de référence pour l’Afrique, c’est l’une des plus grandes sociétés téléphoniques du continent, c’est un modèle de développement privé pour le Sénégal car la Sonatel à elle seule rapporte 12% du PIB national. Sa vente entraînerait de nombreuses conséquences pour le Sénégal. D’abord la société va être contrôlée par les français et les bénéfices vont nourrir l’économie française. Mais aussi, ça peut créer le chômage de beaucoup de jeunes gravitent et qui gagnent leur vie grâce à la Sonatel, en vendant des cartes Orange ou Seddo. Nous sommes catégoriques sur cette décision, l’Etat ne doit pas vendre ses actions pour 200 Milliards de Francs CFA. En conclusion qu’est ce que vous direz au sénégalais ? Je leur dis que l’Ascosen travaille pour vous, pour les consommateurs et nous demandons à tous les sénégalais de nous soutenir car nous luttons pour leurs intérêts. » Propos Recueillis par Dame SYLLA
Le président de l’ASCOSEN (Association des Consommateurs du Sénégal), Momar NDAO, connu sur la lutte de la défense des consommateurs, nous livre son point de vue sur les différents problèmes que traverse le pays.
« Que pensez-vous de la situation économique du pays ? Notre pays traverse une crise économique et financière grave, liée à des facteurs internes et externes que nous connaissons tous. Il y a une crise mondiale qui met à genoux beaucoup de pays, surtout les pays industrialisés. Cette crise ne peut pas laisser notre pays à l’écart ; puisque nous sommes un pays pauvre. Mais certains facteurs qui participent à la crise sont internes comme la non consommation des produits locaux, le manque d’investissements dans le monde agricole et rural. La taille du gouvernement participe aussi à la crise économique du pays. Notre pays n’a pas les moyens financiers de prendre en charge des institutions inutiles comme le Sénat, mais aussi le nombre pléthorique des ministres. Quel est le rôle de votre association devant une telle situation ? Ascosen est une association des consommateurs et pour les consommateurs. Elle veille aux prix des produits qui sont dans le marché pour que le vendeur comme l’acheteur s’en sortent avec satisfaction. Pour cela, nous veillons à chaque instant sur les prix du marché, mais aussi sur la situation économique tout entière. Notre rôle dans cette situation est d’alerter les autorités sur les prix du marché, mais aussi les pousser à baisser les prix des produits surtout ceux de première nécessité pour améliorer les conditions de vie des populations. L’Etat annonce la vente de ses actions à France Télécoms. Quelle est la position de votre association à cette décision ? Nous disons non à la vente des actions de l’Etat à France Télécoms. La Sonatel est une société de référence pour l’Afrique, c’est l’une des plus grandes sociétés téléphoniques du continent, c’est un modèle de développement privé pour le Sénégal car la Sonatel à elle seule rapporte 12% du PIB national. Sa vente entraînerait de nombreuses conséquences pour le Sénégal. D’abord la société va être contrôlée par les français et les bénéfices vont nourrir l’économie française. Mais aussi, ça peut créer le chômage de beaucoup de jeunes gravitent et qui gagnent leur vie grâce à la Sonatel, en vendant des cartes Orange ou Seddo. Nous sommes catégoriques sur cette décision, l’Etat ne doit pas vendre ses actions pour 200 Milliards de Francs CFA. En conclusion qu’est ce que vous direz au sénégalais ? Je leur dis que l’Ascosen travaille pour vous, pour les consommateurs et nous demandons à tous les sénégalais de nous soutenir car nous luttons pour leurs intérêts. » Propos Recueillis par Dame SYLLA
mardi 5 mai 2009
EDUCATION : UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR
LES ETUDIANTS SUENT SANG ET EAU POUR TROUVER UNE PLACE DANS LES AMPHIS
Nous sommes à l’université cheikh Anta Diop de Dakar à l’amphithéâtre ucad2. Trouver dans cet amphithéâtre aux heures de cours est très difficile. C’est pourquoi beaucoup d’étudiants surtout ceux de la faculté des lettres et sciences et de la faculté des sciences juridiques et politiques se réveillent tôt pour trouver une place. Certains d’entre eux se réveillent à 6heures du matin pour réserver une place c’est à dire deux heures avant l’arrivé du professeur parce que disent-ils s’ils ne font pas comme ça ils vont rester debout pendant le cours. D’autres par compte réserve une place la veille en y mettant un cahier ou un papier pour reconnaître le lieu réservé. C’est le cas de Bintou une étudiante en première année en lettres modernes, logée au pavillon des mariés, elle nous dit « quand j’ai cours avec M Diané, le professeur de histoire de la littérature les vendredis à 8 heures je réserve une place la veille, sinon je vais rester debout », confie t-elle. Par ailleurs cette réservation de place crée parfois des problèmes entre les étudiants. Parce qu’on voit certains étudiants déplacés ou jetés les bagages trouvés sur place et s’installent aisément ce que le réservant n’accepte pas et veut coûte que coûte reprendre sa place et des altercations s’en suivent. C’est ce qu’on a constaté à l’amphithéâtre de la faculté des sciences juridiques et politiques. Ici on a retrouvé des étudiants s’installés par terre et prendre notes. D’autres qui ne trouvent pas de lieu pour s’asseoir sont obligés de prendre note à coté des fenêtres puisque la salle ne peut pas contenir toute cette masse estudiantine qui dépasse largement sa capacité d’accueil. Il faut noter aussi la forte chaleur qui se dégage et qui empêche aux étudiants de se concentrer comme il faut. C’est ce que remarque Oumar Faye un de nos interlocuteur qui est à la fac droit : « ici, il fait très chaud, parfois même j’ai envie de sortir de la salle avant la fin du cours », déclare t-il avec la sueur au front avant de poursuivre « nous voulons vraiment que les amphis soient équipés de ventilateurs mais aussi de construire d’autres amphithéâtres pour mettre les étudiants dans de bonne disposition », soutient-il.
LES ETUDIANTS SUENT SANG ET EAU POUR TROUVER UNE PLACE DANS LES AMPHIS
Nous sommes à l’université cheikh Anta Diop de Dakar à l’amphithéâtre ucad2. Trouver dans cet amphithéâtre aux heures de cours est très difficile. C’est pourquoi beaucoup d’étudiants surtout ceux de la faculté des lettres et sciences et de la faculté des sciences juridiques et politiques se réveillent tôt pour trouver une place. Certains d’entre eux se réveillent à 6heures du matin pour réserver une place c’est à dire deux heures avant l’arrivé du professeur parce que disent-ils s’ils ne font pas comme ça ils vont rester debout pendant le cours. D’autres par compte réserve une place la veille en y mettant un cahier ou un papier pour reconnaître le lieu réservé. C’est le cas de Bintou une étudiante en première année en lettres modernes, logée au pavillon des mariés, elle nous dit « quand j’ai cours avec M Diané, le professeur de histoire de la littérature les vendredis à 8 heures je réserve une place la veille, sinon je vais rester debout », confie t-elle. Par ailleurs cette réservation de place crée parfois des problèmes entre les étudiants. Parce qu’on voit certains étudiants déplacés ou jetés les bagages trouvés sur place et s’installent aisément ce que le réservant n’accepte pas et veut coûte que coûte reprendre sa place et des altercations s’en suivent. C’est ce qu’on a constaté à l’amphithéâtre de la faculté des sciences juridiques et politiques. Ici on a retrouvé des étudiants s’installés par terre et prendre notes. D’autres qui ne trouvent pas de lieu pour s’asseoir sont obligés de prendre note à coté des fenêtres puisque la salle ne peut pas contenir toute cette masse estudiantine qui dépasse largement sa capacité d’accueil. Il faut noter aussi la forte chaleur qui se dégage et qui empêche aux étudiants de se concentrer comme il faut. C’est ce que remarque Oumar Faye un de nos interlocuteur qui est à la fac droit : « ici, il fait très chaud, parfois même j’ai envie de sortir de la salle avant la fin du cours », déclare t-il avec la sueur au front avant de poursuivre « nous voulons vraiment que les amphis soient équipés de ventilateurs mais aussi de construire d’autres amphithéâtres pour mettre les étudiants dans de bonne disposition », soutient-il.
Inscription à :
Articles (Atom)